Que m’arrive-t-il ?

La question se pose en effet souvent ainsi : que m’arrive-t-il ?

Vous n’allez pas bien sans savoir vraiment pourquoi. Votre vie affective n’est pas satisfaisante, parfois vouée à l’échec. Vous n’arrivez pas à vous épanouir tant sur le plan personnel que professionnel. Mais il peut y avoir plus : vous êtes pris d’angoisses (souvent phobiques), d’inhibitions qui, peu à peu, restreignent votre espace de vie. Vous avez le sentiment que quelque chose en vous vous empêche de vivre de façon heureuse.

Quelque chose est arrivée qui est venue faire rupture dans votre vie : une perte, une séparation, un deuil, une maltraitance, un abus. Cela vient d’arriver ou est arrivé il y a des mois, peut-être des années sans que vous ayez pu en parler.

Plus simplement, vous recherchez un psychologue ou un psychothérapeute dans un but de conseil. Le conseil psychologique est sollicité, par exemple, par des parents pour leurs enfants, lorsqu’ils éprouvent des difficultés dans leurs relations avec eux ou dans leur éducation.

On pourrait ainsi multiplier les situations pour lesquelles le besoin de parler se fait ressentir. La question est alors : comment en parler et à qui ? Les proches peuvent parfois aider mais ce que l’on peut leur dire connaît très vite des limites justement parce qu’ils sont proches. Et puis, il est fréquent de ressentir un sentiment de honte ou de culpabilité qui empêche de dire sa souffrance à un autre.

De quoi ai-je besoin ?

D’une aide assurément ! Mais pas de n’importe laquelle. Il vous faut un professionnel qui sache y répondre, c’est-à-dire vous permettre de retrouver le désir de vivre, de travailler et d’aimer, de retrouver votre espace de pensée ainsi qu’une certaine liberté d’être.

Un professionnel formé et expérimenté

Pourquoi puis-je vous aider ? Parce que je suis un professionnel formé et expérimenté.

En effet, psychologue clinicien, j’ai exercé pendant près de 30 ans en milieu hospitalier en psychiatrie adulte puis en pédiatrie dont une partie en parallèle avec mon activité libérale.

Je suis psychanalyste inscrit à l’Institut de la Société Psychanalytique de Paris (SPP), association loi 1901 reconnue d’utilité publique. Les procédures suivies par cet société s’inscrivent dans le cadre des règles générales édictées par l’Association Psychanalytique Internationale (API).

L’API est une organisation fondée par Freud en 1910 et qui depuis s’attache très soigneusement à définir et faire appliquer les règles de la formation et de la pratique psychanalytique au sein des sociétés nationales composantes.

Par ailleurs, je suis inscrit sur le registre des psychothérapeutes de l’Agence Régionale de la Santé de Haute-Normandie.

Il n’existe pas de garantie totale en matière de psychothérapie dans la mesure où, pour une grande partie, son déroulement est assujettie à la qualité de la rencontre entre le patient et son psychothérapeute. Cependant, ma formation – en particulier mon parcours psychanalytique – ainsi que mon expérience constituent une garantie minimale que l’on est en droit d’attendre d’un professionnel qui se destine à la pratique de la psychothérapie.

Comment puis-je vous aider vous ou votre enfant ?

En vous proposant un espace d’écoute confidentiel, neutre et bienveillant. Mais cela ne suffit pas. Le psychothérapeute est tenu à une exigence de moyen : sa formation, bien entendu, en fait partie mais aussi le respect de règles techniques et éthiques. Parmi ces règles, il faut souligner l’importance du cadre de travail du psychothérapeute tel qu’il est défini depuis de nombreuses décennies par l’API.

Ce cadre définit les conditions matérielles dans lesquelles peut s’organiser le processus psychothérapeutique : le patient – enfant, adolescent ou adulte – est toujours reçu à l’heure et chaque séance dure invariablement ¾ d’heure. Pourquoi ¾ d’heure et pas 30mn, 20mn ou, on le voit parfois quelques minutes chez certains praticiens qui pratiquent des séances à durée dite « variable » (variable toujours dans le raccourcissement de la durée !). Eh bien ¾ d’heure parce que l’expérience montre que ce temps est nécessaire pour qu’une personne puisse s’« installer » dans sa séance, pour qu’elle puisse prendre le temps de dire ce qui est souvent difficile à dire. Enfin et surtout, il faut du temps pour s’autoriser à laisser venir des émotions récentes ou anciennes, enfouies ou à fleur de peau, mais que seules certaines conditions d’écoute permette à la personne qui en est le siège d’exprimer.

En pratique

Lors des premiers entretiens, nous ferons ensemble le point, nous envisagerons ce qu’il convient de mettre en place pour vous aider, vous ou votre enfant (jeune ou adolescent), en prenant en compte l’ensemble de votre situation.